Chaque projet est l’occasion pour de nombreux élus, aménageurs et promoteurs de faire miroiter des retombées aussi péremptoires qu’hasardeuses. Ils masquent avec la Novlangue, leur fièvre bâtisseuse et la spéculation immobilière associée en verdissant leur langage.

Leur béton devient vert, l’artificialisation est une « renaturation », le changement de fonction des espaces verts sert aux nouvelles mobilités, construire des logements, des commerces ou des bureaux sur toutes surfaces foncières, c’est « faire le plein de nature » !

Espace vert, c’est pourtant simple, compréhensible pour le bonheur et la santé de toutes et tous.

Mais aujourd’hui, aménageur, constructeur, bétonneur apprenti ou confirmé verdit actes et paroles. Ils renaturent, désimperméabilisent, plantent des arbres, « écoquartiérisent », délocalisent les entreprises « polluantes ». Ils se présentent en promoteurs de la ville « équilibrée-dense, toujours plus verte » pour masquer les millions de m3 de béton et d’artificialisation d’espaces verts, jardins, etc.

L’Aire des vents serait une zone de « terres fatiguées », principalement « utilisées en parking » et « mobilisées le tiers de l’année pour de l’événementiel » la rendant inaccessible au public.

Du bitume, des entrées dégradées et une faible fréquentation, il n’en fallait pas plus pour justifier la vente à très bas prix (70 €/m²) de 100 000 m² d’espaces verts publics, partie intégrante du Parc Georges Valbon.

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