Le MNLE présent à la fête de l’Humanité a organisé un débat sur la définition des besoins énergétiques.
Trois délégations de villes sœurs (Delmenhorst, Sangha et le camp palestinien de New Askar) participeront à cette édition.
Plus de 70 associations et des services publics seront là pour rencontrer et échanger avec les habitants et visiteurs. Tout un programme de conférences et démonstrations est attendu.
Dans le traditionnel village du monde, une douzaine d’associations engagées dans la solidarité et les droits humains seront présentes.
Allonnes en fête accueillera un espace dédié au numérique. De nombreuses animations sont également prévues, notamment pour les enfants, une structure gonflable, un manège et des balades à poney.
Nous vous proposons de venir à Allonnes et de rencontrer notre association.
Ramenez vos cartouches vide d’imprimante jet d’encre à notre stand et nous vous parlerons de notre projet d’installation de ruchers pédagogiques et de la vente de miel en circuits courts dans la Sarthe. Ce projet se développe mais nous avons besoin de votre participation active.
En faisant un geste pour la planète en récupérant les cartouches, nous permettons de relancer l’apiculture non productiviste nécessaire à la vie…
Dominique Campagna
Président de l’association
COMMUNIQUE DU MNLE
L’EAU, UN BIEN COMMUN
La réaffectation de l’eau potable n’est pas une « fake news » !
Le réchauffement climatique et ses conséquences sont incontestables. Près d’un milliard d’êtres humains n’ont pas accès à cette ressource vitale alors qu’un Américain du nord gaspille 500 à 600 litres d’eau par jour.
Dans notre système économique, l’eau est une marchandise qui devient un objet de spéculation y compris en bourse.
La sécheresse et les inondations provoquent des catastrophes à répétition qui plongent des régions entières de la planète dans la désolation.
Si nous laissons l‘eau dans les mains des affairistes, des accaparateurs, la situation n’ira qu’en s’aggravant.
Le MNLE, qui a été créé il y a quarante ans, a toujours porté des propositions pour que l’eau soit un bien commun :
1°) Une gestion publique de l’eau et de l’assainissement.
2°) La transparence de gestion avec la participation effective des citoyens-usagers dans les comités locaux de gestion de l’eau et de l’assainissement.
3°) L’introduction de la gratuité pour les quarante premiers litres d’eau par personne et par jour puis une tarification progressive (+ on consomme + on paye).
4°) L’interdiction des méga-bassines d’eau pompées dans les nappes phréatiques.
5°) Stopper la production d’eau en bouteille.
6°) Changer de modèle agricole afin de réduire l’arrosage (c’est l’agriculture qui consomme 70 % de l’eau douce de la planète).
7°) Développer les doubles réseaux d’assainissement : pluvial et eaux usées
8°) Effectuer un contrôle public des réseaux de distribution, la chasse au gaspillage : 20 % des 5,1 milliards de m³ d’eau distribués en France chaque année ne sont pas consommés, une grande partie des fuites sont sur les réseaux de distribution, donc non payées.
La suite de notre communiqué ICI
et pour retrouver la pétition, suivre le lien Sauvons-ilot-peche-bergerie
Le premier acte a démarré début mai, en même temps que le lancement d’une soit-disant concertation. Cela commence par déplacer des commerces de la place Jean Jaurès et des rues adjacentes, participant à l’animation du marché, vers la place du 8 Mai 1945 afin de lancer les recherches archéologiques avant la création d’une « forêt urbaine » sur la place Jean Jaurès. Ce projet est l’occasion pour nos nouveaux élus de verdir leur langage en faisant croire que la renaturation de la place Jean Jaurès va participer à rendre le cœur de ville « durable, résilient et sobre ». Cette décision, prise dans l’opacité, ne peut être acceptée car elle va à l’encontre de la grave crise climatique que nous vivons. Elle ne répondra pas au manque criant d’espaces de respiration pour les dionysiens et dionysiennes, dont la crise sanitaire a révélé toute l’ampleur……
La suite dans notre communiqué ICI