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Sur les deux gares de la ligne 15 Est à Aubervilliers, restons vigilants

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Pour la gare du centre-ville présentée le 23 septembre 2024, la mobilisation citoyenne pèse !

Contrairement aux premières rencontres où les habitants avaient exprimé leur colère face à l’imposition des expropriations des immeubles du 3 Ferragus et du 14 rue de la Commune de Paris, pour sortir les gravats liés aux travaux de creusement de la ligne du métro express 15 Est, la Société des Grands Projets a bien revu ses projets initiaux. Alors que les gares sont des objets architecturaux d’importance, la gare du centre-ville d’Aubervilliers aura son entrée en rez-de-chaussée d’un programme immobilier de 67 logements en accession à la propriété, et les deux immeubles seront conservés. La ligne 15 sera créée à 33m de profondeur, parallèlement à la ligne 12 de la RATP, et connectée à celle-ci en sous-sol, avec ascenseurs et escalators en montée et en descente.

Deux points clés de la réunion ont porté sur la sauvegarde des arbres et les nuisances du chantier. La SGP a affirmé que son objectif était d’éviter les impacts négatifs sur l’environnement. Les arbres existant Avenue de la République et Square du Docteur Pesqué seront transplantés à 80%, et des épaisseurs de terre de 1,40m à 2,50m seront prévus pour les arbres de grand développement. Quand la transplantation ne sera pas possible les arbres seront abattus le principe de compensation sera appliqué : un arbre abattu pour trois arbres replantés sur la ville. Rappelons toutefois que la compensation ne remplace pas les bénéfices rendus par les arbres plus anciens. Mais aucun détail n’est donné sur les arbres sauvegardés alors qu’il est fait mention sur la déclaration préalable du 30 août de 14 arbres et arbustes abattus.   Concernant les nuisances sonores tout devrait être fait pour qu’elles soient réduites au maximum, des camions bâchés transporteront les gravats vers la A86 aux horaires de chantier (8h – 18h) et des contrôles réguliers avec Airparif seront là pour mesurer la pollution de l’air.

Pour la gare du Fort présentée le 2 octobre 2024, la lutte paie avec une emprise de 960 m² de jardins au lieu des 5000 m² prévus !

Au Fort d’Aubervilliers la gare représentera deux corps de bâtiments d’une hauteur de 3 étages. S’ils ressemblent à des blockhaus c’est parce qu’ils devraient, après l’ouverture de la ligne en septembre 2031, être surmontés de deux tours comprenant 7000 m² pour des bureaux et un hôtel. Un tel projet immobilier de grande hauteur, 6 étages au-dessus de la gare face aux tours des Courtilières du côté Pantin – envisagé par Grand Paris Aménagement dans la phase 2 du Fort – semble démesuré à cet endroit, formant à terme un mur le long de l’Avenue de la Division Leclerc.

La SGP certifie qu’il n’y aura pas de grande enseigne commerciale dans l’enceinte de la gare, mais la question de l’utilité de bureaux à cet endroit peut être légitimement posée, le territoire étant déjà saturé de bureaux vides. Elle assure également que l’emprise sur les jardins ouvriers ne sera que de 960 m² au lieu des 5000 m² initialement prévus. Mais qu’en sera-t-il réellement à l’avenir quand on sait qu’un des principes du Grand Paris Express est de densifier dans un rayon de 800 mètres autour de ses gares ? Il nous semble important de rester vigilants sur la sanctuarisation de ces espaces de jardins dans le cadre du Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUI) en cours de révision.

Les travaux devraient débuter en juillet 2025, et bien que la SGP cherche à rassurer sur les mesures prises pour éviter les impacts du bruit, des pollutions de l’air et des poussières, avec la mise en place de bâches acoustiques et autres systèmes de capotage, il ne fait aucun doute que les riverains devront subir les inconvénients du chantier pendant plusieurs années. A ceci s’ajoute le programme de la rénovation urbaine de l’autre côté du carrefour sur le quartier Emile Dubois – Maladrerie qui débutera également en 2025 : autant de désagréments de longue durée pour l’ensemble des habitants de ce secteur.

Il reste à solutionner la question de la gare routière et de ses différents bus avec les autres acteurs impliqués (RATP, région, département, Plaine Commune). A venir également deux prochaines réunions publiques, une sur Pantin où les habitants des Courtilières vont être impactés en premier lieu et une autre sur l’aménagement des deux ouvrages annexes prévus entre le Fort et la Mairie d’Aubervilliers : celui sur l’ancienne friche Griset rue de la Maladrerie pour laquelle les habitants ont demandé un square et un aménagement paysager, et celui du stade du Docteur Pieyre où la préservation de ses arbres magnifiques, notamment de ses cèdres, est impérative.

En conclusion, on peut constater que les chantiers existants se font les uns à côté des autres sans pour autant chercher une cohérence d’ensemble entre les différents acteurs en charge des projets. Les habitants demandent d’avoir une vision globale des projets d’un même quartier avec l’ensemble des acteurs et de pouvoir en discuter réellement. Cette demande vaut également pour l’aménagement de l’ensemble de la ville où fleurissent partout des projets immobiliers qui accroissent la densification, sans que la population soit tenue au courant et ait son mot à dire. Cela signifie la nécessité d’un autre niveau d’information aux habitants, par voie d’affichage ou de boîtage, sur les projets d’aménagement et les modifications qui en découlent pour les usagers et sur la tenue de réunions publiques.

Même si la SGP répond aux inquiétudes des habitants de façon claire et précise, plusieurs questions restent en suspens. Comment des décisions aussi importantes concernant l’aménagement du centre-ville ont-elles été prises, sans consultation des habitants, en dehors des rencontres régulières entre la SGP et l’association Métr’Auber ? On nous parle de compensation pour les arbres mais il n’en est pas de même pour la destruction du Foyer Ambroise Croizat, qui fait maintenant défaut aux personnes âgées et qui était un des rares lieux accueillant les réunions des associations. L’absence d’équipements sociaux, culturels et associatifs dans ce cœur de ville est dénoncée. D’autre part comme l’Avenue de la République sera fermée pendant au moins deux ans, les arrêts et parcours de bus entièrement modifiés, quelle communication sera faite  aux  habitants ?

La  SGP n’a pas la réponse à elle seule à ces questions. C’est pourquoi nous les posons à Mme le Maire Karine Franclet et aux élus. Alors que la vie démocratique et la participation citoyenne se réduisent de plus en plus, il nous semble essentiel de pouvoir prendre part aux projets de grande ampleur qui se développent depuis plusieurs années et qui vont transformer la ville de façon importante.  Le devenir d’Aubervilliers nous intéresse et nous voulons y contribuer pleinement.

Le 14 octobre 2024

MNLE 93 – Maison des associations – 61 rue Victor Hugo – 93500 PANTIN – mnle-93@orange.fr – Facebook mnle 93 – https://www.mnle.fr/les-comites/mnle93

Collectif Climat d’Aubervilliers – 69 rue des Ecoles – 93300 AUBERVILLIERS – climataubervilliers@gmail.com – Facebook Collectif Climat Aubervilliers

STOP AUX NUISANCES A DUGNY NON AU PROJET DE DATACENTER

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C’est parallèlement à la rue Lorenzi et derrière la Bibliothèque du Musée National de la Marine, que le groupe nord américain Digital Reality, promoteur et financier adoubé par les responsables de Paris Terres d’Envol, du Conseil Régional IDF, du Conseil Départemental, entend installer sur 9,5 ha un Datacenter de 41 500 m2, le plus grand de France, d’une puissance une fois et demie supérieure à celui de La Courneuve situé sur le terrain ex Eurocopter (toujours pas en fonction).

C’est aussi le plus grand projet en milieu urbanisé. Aux USA ce type de Méga Data est construit dans les déserts, mais en France on va les installer dans les villes en milieu urbanisé. Peu leur importe la santé des populations !

Après les barres d’immeubles construites sur 8 ha de l’Aire des Vents sacrifiés par le Conseil Départemental pour 70 € le m2 vendu à des promoteurs immobiliers et actuellement revendu plus de 4000€ le m2 (340 000 € le F4 de 80 m2), après l’extension de la station de dépollution et la transformation en gaz des eaux usées du Val d’Oise, c’est maintenant une vraie centrale thermique en pleine ville.

C’est par hasard que notre association MNLE 93 l’a appris en début d’année, alors que le dossier se préparait depuis 2 ans. Dès lors nous n’avons eu de cesse de demander une réunion publique et une consultation des Dugnysiens.nes.

Qui a su qu’une Demande d’Utilité Publique (DUP) sur l’enfouissement par RTE des câbles à haute tension se faisait avec consultation des maires concernés, sur laquelle le MNLE 93 a réussi à s’exprimer avec un avis extrêmement défavorable.

Quel a été l’avis de la municipalité, du maire de Dugny ? Aucune concertation, aucune réunion d’information publique, aucune consultation des Dugnysiens.nes.

Qui est averti de ce projet ? Maire, Président du Département, Elus, Préfet…, tous le sont depuis plus de deux ans. Pendant ce temps, personne n’a évoqué, communiqué, informé, concerté les Dugnysiens.nes, comme les associations.

C’est donc en guise d’enquête publique, une enquête confidentielle ou clandestine à laquelle on va assister sur ce projet de Datacenter à Dugny : Une affiche sur un panneau devant la mairie, une autre accrochée sur la grille en bout de la rue Sébastien et Jacques Lorenzi. En dehors de cela, RIEN !

Quel mépris à l’égard des Dugnysiens.nes, quant à leur environnement et leur santé.

Quelques chiffres extraits du dossier de l’enquête et réflexions sur ce projet de Datacenter :
– L’alimentation électrique nécessaire au fonctionnement de ce Méga Data, 2 lignes à haute tension de 225 000 Volts, chacune tirée sur 28 kms depuis Le Plessis Gassot et Villiers le Bel. Pourquoi s’implanter si loin de cette source d’énergie ?

– Des inquiétudes posées dans les notes et avis (RTE, Autorité environnementale) quant à l’exposition aux champs électriques et magnétiques en particulier des populations, crèche incluse, des lotissements de la rue Lorenzi, la place et résidence Danielle Casanova, la résidence des Acacias, etc.

– Rappelons que les premières habitations et la crèche rue Lorenzi seront à moins de 50 m de ce projet de Datacenter.

– 3 ans de chantier annoncés avec une circulation à Dugny de 150 camions par jour pendant les travaux.

-108 groupes électrogènes utilisés chaque mois entre 1h30 et 4h de test, une vraie centrale thermique qui inonde de sa pollution en milieu urbanisé.

– Dans le même temps une forte densification de Dugny, 2 km2 pour 17 000 habitants (nouvelles constructions incluses) soit un bond de + 50% accroissant ainsi la densité de la population à 8 500 habitants/ km2.

– 1 200 tonnes/an de carburant nécessaire uniquement pour les tests des groupes électrogènes, soit une consommation énergétique douze fois supérieure à la consommation totale de la ville de Dugny.

– Plusieurs produits stockés, dont 5 400 tonnes de carburant maintenu à 45° pour le fonctionnement des 108 groupes électrogènes.

– Constitution d’un fort phénomène d’îlot de chaleur urbain lié aux effets additionnels dus au rejet de la très grande partie de la chaleur fatale dans l’atmosphère et à la modification de l’usage des sols autour du projet, etc.

L’artificialisation des sols et la densification de la population inquiètent de plus en plus, la circulation et la traversée de la ville de Dugny par sa route unique se compliquent, les espaces verts et de fraicheur sont réduits, le cumul bruits et qualité de l’air sont maintenant gravement posés. L’annonce de ce projet d’implantation de Datacenter à moins de 100 mètres des habitations interroge.

L’utilité et la capacité d’un tel équipement n’a pas été soumis à discussion avec la population, pas plus que la quantité d’eau utilisée pour le refroidissement ou la débauche d’énergie pour son fonctionnement.

Les alertes des scientifiques du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), les inquiétudes et contestations face aux projets de destruction de la nature, d’artificialisation des sols, d’installations provoquant des ilots de chaleur et une destruction  alarmante de la biodiversité sont de plus en plus nombreuses en France, y compris à Dugny.

Le MNLE 93 met en débat ces questions qui touchent à notre vie quotidienne, à la recherche de solutions pour répondre aux besoins de la population. Mais cela suppose de l’information et une vraie concertation avec la population.

Qu’est-ce qui justifie la concentration extrême de Datacenters en Seine-Saint-Denis ? La recherche d’une implantation plus opportune de ce type d’équipement, proche de centrales nucléaires ou électriques n’est-elle pas plutôt à rechercher ? 

Quel est le besoin de ce type d’équipement à l’échelle nationale pour répondre aux besoins numériques ? Les usages du numérique ne sont-ils pas d’ailleurs à questionner ? Tout comme la  maîtrise publique de données sensibles aujourd’hui entre les mains du privé (GAFAM) ?

POUR UNE REUNION D’INFORMATION PUBLIQUE ET UNE CONCERTATION DES DUGNYSIENS.NES !

Si vous souhaitez nous contacter, nous rejoindre n’hésitez pas, nous sommes à l’écoute et en attente de vous lire ou de vous rencontrer à ce sujet. Enquête Publique DATACENTER DIGITAL à Dugny du 15 octobre au 15 novembre 2024

Collectif de Dugny

Mouvement National de Lutte pour l’Environnement MNLE 93

Contact : Mr BOULAY: fblaymont@gmail.com                              

Dugny le 10 octobre 2024                          

                                                             

Déclaration du MNLE sur la place de l’écologie dans le gouvernement Barnier

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Paris, le 1er octobre 2024

Gouvernement Barnier : où est l’Écologie ?


Les transitions énergétique et écologique sont une question essentielle quant aux conditions de vie de l’humanité. La lutte contre les dérèglements climatiques et leurs conséquences, la préservation de la biodiversité devraient être une priorité gouvernementale pour maintenir les capacités de vie sur la planète. La composition du gouvernement de Michel Barnier envoie un message négatif sur ces sujets.
Le ministère de l’Écologie confié à Madame Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Préservation des risques est complètement éclaté.
Certes, Madame Runacher retrouve l’Énergie dans ses compétences, mais les Transports, le Logement, la Mer, la Pêche, les Forêts sont soit autonomes, soit rattachés à d’autres ministères, rendant toute vision et action globale difficile, voire impossible. Quant à la biodiversité, elle est totalement absente. Le secrétariat général à la planification écologique auprès du Premier ministre est maintenu, après bien des hésitations, mais ses moyens sont réduits dans l’immédiat par le départ de beaucoup de ses cadres qui l’affaiblit et la planification a quasiment disparu de l’action gouvernementale.
L’organisation administrative du secteur de l’écologie et de l’environnement en de multiples agences et organismes indépendants les uns des autres, travaillant en silo, le plus souvent réduits à la distribution de crédits publics aux entreprises sans contrepartie, avait déjà considérablement affaibli les politiques publiques pour la transition énergétique et climatique de la France. Elle a placé ces services sous l’influence des lobbies industriels, financiers et de l’agriculture productiviste qui les vilipendent et hurlent à l’excès de normes et de contrôles. Le rattachement des services départementaux du ministère de l’Écologie au ministère de l’Intérieur en 2020 avait affaibli le côté écologie au bénéfice des missions de maintien de l’ordre public ; toutes ces dispositions se sont accompagnées d’une diminution de plusieurs milliers d’agents des effectifs du ministère de l’Écologie et d’une diminution considérable des moyens de fonctionnement.
Les projets 2025 du ministère du Budget prévoient des coupes importantes dans les fonds verts, l’isolation des bâtiments, la protection de la biodiversité, l’électrification des transports, l’action climatique.
Le MNLE dénonce la désarticulation, voire la destruction progressive des services publics et de l’administration, sans lesquels aucune transition écologique, climatique, énergétique effective ne se fera. Il demande la création de services publics de l’Écologie et de l’Environnement avec les moyens en personnels et en fonctionnement afin de pouvoir mettre en œuvre les politiques publiques pour la lutte contre les dérèglements climatiques et leurs conséquences, la lutte contre la perte de biodiversité, et permettre des transitions énergétiques, climatiques, écologiques correspondant aux besoins des populations.
MNLE Réseau Humanité&Nature
Administration : plateforme associative ACTE, 87 Bd TELLENE, 13007 MARSEILLE
Tél : 06 36 48 09 90. Site : www.mnle.fr Mail : mnle@wanadoo.fr
POUR L’ENVIRONNEMENT

Interview de Charles-François Boudouresque lors de la 29e université d’été du MNLE

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Charles-François Boudouresque, professeur émérite à Aix Marseille Université, évoque les espaces protégés marins et terrestres.

Charles-François Boudouresque a travaillé sur les macro algues marines et les posidonies, sur le fonctionnement des écosystèmes marins et sur la protection de l’environnement. Il a présidé pendant plus de 25 ans le Conseil scientifique de la réserve naturelle de Scandula et est membre du Conseil scientifique de la réserve naturelle des Buccchi di Bunifaziu (Corse)

Ecologie et Paix

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Pierre-Olivier Poyard était présent au stand du MNLE à la fête de l’Humanité, samedi 14 septembre, pour dédicacer son livre « Ecologie et Paix » sous-titré « Pour sauver notre Terre Arrêtez les guerres ! ». Ce livre a été rédigé à partir d’entretiens avec David Ligouy, citoyen engagé pour l’écologie et la Paix avec le Mouvement de la Paix.

L’auteur explique dans ce livre qu’une Révolution politique, sociale et écologique est nécessaire, en développant le « Symbiocène », ce nouvel âge de l’Humanité, de la coopération généralisée des Humains entre eux et avec la Nature.

Le livre a été édité par les Editions Emile Communication – Courriel : emile.communication13@gmail.com

Intervention de Daniela Banaru à l’université 2024 du MNLE

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Daniela Banaru est intervenue à l’université du MNLE le thème de la « Biodiversité : Déclin, causes et améliorations possibles dans une approche socio-systémique »

Daniela Banaru est biologiste marin au MIO (Mediterranean Institute of Oceanography) CNRS/INSU UMR 7294, Equipe 5 EMBIO.

Ses thématiques de recherche sont :

– l’analyse des réseaux trophiques en Méditerranée et mer Noire par des analyses isotopiques et des contenus stomacaux ainsi que par une approche de modélisation écosystèmique (Ecopath with Ecosim, OSMOSE).

– les transferts trophiques des contaminants métalliques et organiques.

Conférence de Stéphane Blain à l’université d’été 2024 du MNLE

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« Les puits de carbone naturel et leur rôle dans le contexte du changement climatique »

Stéphane Blain est docteur en océanographie chimique, professeur d’océanographie chimique à l’Université Pierre et Marie Curie (Paris). Il travaille à la station marine de Banyuls-sur-Mer, où il a fondé et dirigé le Laboratoire d’Océanographie Microbienne (2010-2013), une unité de recherche en partenariat avec l’Université Pierre et Marie Curie et le CNRS.

Interview d’Ali Aït Abdelmalek et de Jean Paul Martel intervenants à l’université d’été 2024 du MNLE

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Reprendre conscience du vivant.

Ali Aït Abdelmalek est sociologue, docteur en sociologie (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, 1993) Professeur des universités en sociologie (E.-LIRIS, Rennes-2) et président du groupe d’études et de recherches sur les pays (GERP)

Jean Paul Martel, président du MNLE Pays de Loire Naturellement, est titulaire d’un diplôme d’aménageur urbaniste. Il a été cadre dans la fonction publique, directeur de cabinet dans une collectivité territoriale.

Interview de Pascale Mercier et Christian Chasseau intervenants à l’université d’été 2024 du MNLE

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Christian Pellicani, président du MNLE Réseau Humanité et Nature, interviewe deux des intervenants à l’université d’été 2024 de l’association.

Pascale Mercier est adhérente du comité MNLE 93 et nord est parisien. Christian Chasseau est secrétaire national de l’association.